Le parchemin de Nyogtha

Aides de jeu, partage d'idées et scénarios sur le jeu de rôle dans un univers médiéval fantastique

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Category : Morceaux choisis

C’est le genre de paroles qui peuvent sortir de la bouche d’un PNJ important… De ces paroles qui marquent l’esprit, assez originales – drôles -piquantes – imagées pour interpeler nos joueurs.
Par ailleurs, c’est une excellente occasion de mettre à l’honneur ces petites phrases que des auteurs ont parfois mis tant de temps à coucher sur le papier… Pour ma part, j’accorde beaucoup d’importance aux dialogues : un PNJ important ne doit pas déblatérer que des banalités !
N’hésitez pas à m’adresser quelques répliques sympas, partageons nos coups de cœur !

Daenerys « Les agnelets. Si seulement les agneaux avaient des crocs. »
Ser Baristan « Cela rendrait les loups plus prudents, assurément »
(Livre 14 – Les dragons de Meereen)

Jon Snow « La sorcellerie est une épée dépourvue de poignée. Il n’y a aucun moyen de la saisir sans risque »
(Livre 14 – Les dragons de Meereen)

Xaro, répondant à Daenerys sur l’intérêt d’affranchir les esclaves
« Et que feraient-ils donc de la liberté ? Autant donner à un poisson une cotte de mailles »
(Livre 13 – Le bûcher d’un roi)

Brienne, devant un arbre chargés de pendus « Avec un arbre pour potence, tous les hommes sont frères »
(Livre 12 – Un festin pour les corbeaux)

Brienne, se rappelant les paroles de sa septa « La vérité, c’est dans ton miroir que tu la trouveras, pas sur la langue des hommes »
(Livre 11 – Les sables de Dorne)

Perso : Emouchet, chevalier Pandion

[Source de l’extrait : David Eddings – Trilogie des Joyaux – vol 1 – « Le Trône de diamant »  / Pocket]

Belle description de l’arrivée du personnage principal de cette très bonne trilogie !

« […] Il pleuvait. Une bruine douce et argentée filtrait à travers le ciel nocturne et couronnait les tours de guet massives de la ville de Cimmura; elle sifflait dans les torches fichées de part et d’autre de la grand-porte et faisait danser la lumière sur les pierres de la route. Un cavalier solitaire approchait de la cité. Il était enveloppé dans une lourde cape de voyage et montait un cheval rouan à poils longs, doté d’un long nez et d’yeux plats et vicieux. Le voyageur était un homme de haute taille, tout en os et en articulations, plutôt décharné. Il avait le cheveu rare et noir, et jadis avait eu le nez cassé. Il chevauchait tranquilement, mais avec la vigilance particulière du guerrier.

Il s’appelait Emouchet, faisait bien dix ans de moins que son âge et ne portait pas vraiment l’érosion des ans sur son visage raviné; il n’avait guère qu’une demi-douzaine d’infirmités et inconforts mineurs, de larges cicatrices violettes un peu partout et de vieilles douleurs qui se réveillent par temps humide. »

Objet : pierre-à-fées

[Source de l’extrait : Raymond Feist  –  « Faërie » /  Presses Pocket ]

Serait-ce une pierre-à-fées … ?

« […] Et n’importe quelle pierre ne fait pas l’affaire. On ne peut pas prendre un caillou quelconque et y percer un trou, tu sais. Il faut que la pierre ait été lavée par un torrent, que le trou soit naturel, et qu’on l’ait trouvée sèche sur la berge. […] »