[Source de l’extrait : Raymond Feist – « Faërie » / Presses Pocket ]
Serait-ce une pierre-à-fées … ?
« […] Et n’importe quelle pierre ne fait pas l’affaire. On ne peut pas prendre un caillou quelconque et y percer un trou, tu sais. Il faut que la pierre ait été lavée par un torrent, que le trou soit naturel, et qu’on l’ait trouvée sèche sur la berge. […] »